Platitudes. Vous n'élevez pas autant le débat que vous l'imaginez. La question du respect de l'autre n'est pas assez intégrée à votre propos. C'est l'archétype du "type bien " autoproclamé qui fait semblant de remettre en question les schéma de domination archaïques pour mieux les réaffirmer sous l'apparence de la subtilité. Dommage, le reste de votre travail est intéressant. Mais là vous avez selon moi encore du chemin à faire pour saisir l'enjeu réel du déséquilibre que vous décrivez. Je vous souhaite d'y parvenir. Les démonstrations ne suffisent pas dans ce domaine, il faut le vivre.
Je note une contradiction dans votre commentaire : vous m’invitez à parler davantage de respect, tout en me qualifiant de “type bien autoproclamé” et en réduisant mon texte à des “platitudes”. Le respect commence aussi dans la manière dont on s’adresse à l’autre.
Sur le fond : mon texte n’avait pas pour objectif de traiter l’ensemble des rapports de domination, mais de déconstruire un cliché courant – “les hommes ne pensent qu’au sexe”. J’y ai intégré des éléments biologiques, culturels, psychologiques, des études, des chiffres. Ce n’est donc pas une “banalité”, mais une tentative de nuance. Et ce n'est pas parce que ce sont des "platitudes" pour vous que ça l'est forcément pour tout le monde 😊
Évidemment, il reste encore beaucoup à dire sur le poids des schémas de domination et sur la question du respect dans les relations. Mais ce n’était pas l’objet de ce texte. Reconnaître une limite de champ, ce n’est pas “réaffirmer les archaïsmes”, c’est travailler un angle précis.
J’adore les désaccords quand ils sont constructifs. Ici, vos attaques disqualifient plus qu’elles n'ouvrent le débat. Et c’est dommage, car sur le fond, il y a matière à enrichir la réflexion.
Fair-play de votre part de me reprendre sur la forme. Cette lecture m'a contrariée par certains aspects, ce qui ne me donne pas le droit de juger la personne. Certes, il y a des conditionnements et une injonction sociale plus forte pour les hommes à être davantage orientés vers l'aspect charnel et concret de la relation. Et oui, la plupart ont des sentiments et des aspirations plus profonds qu'il n'y paraît.
Mais alors, comment peuvent-ils apprendre à différencier une attirance superficielle d'un sentiment plus profond ? C'est cela que j'aurais aimé savoir. Cela permettrait que l'intimité physique intervienne au moment où elle a le plus de chance de rapprocher que de séparer.
Platitudes. Vous n'élevez pas autant le débat que vous l'imaginez. La question du respect de l'autre n'est pas assez intégrée à votre propos. C'est l'archétype du "type bien " autoproclamé qui fait semblant de remettre en question les schéma de domination archaïques pour mieux les réaffirmer sous l'apparence de la subtilité. Dommage, le reste de votre travail est intéressant. Mais là vous avez selon moi encore du chemin à faire pour saisir l'enjeu réel du déséquilibre que vous décrivez. Je vous souhaite d'y parvenir. Les démonstrations ne suffisent pas dans ce domaine, il faut le vivre.
Je note une contradiction dans votre commentaire : vous m’invitez à parler davantage de respect, tout en me qualifiant de “type bien autoproclamé” et en réduisant mon texte à des “platitudes”. Le respect commence aussi dans la manière dont on s’adresse à l’autre.
Sur le fond : mon texte n’avait pas pour objectif de traiter l’ensemble des rapports de domination, mais de déconstruire un cliché courant – “les hommes ne pensent qu’au sexe”. J’y ai intégré des éléments biologiques, culturels, psychologiques, des études, des chiffres. Ce n’est donc pas une “banalité”, mais une tentative de nuance. Et ce n'est pas parce que ce sont des "platitudes" pour vous que ça l'est forcément pour tout le monde 😊
Évidemment, il reste encore beaucoup à dire sur le poids des schémas de domination et sur la question du respect dans les relations. Mais ce n’était pas l’objet de ce texte. Reconnaître une limite de champ, ce n’est pas “réaffirmer les archaïsmes”, c’est travailler un angle précis.
J’adore les désaccords quand ils sont constructifs. Ici, vos attaques disqualifient plus qu’elles n'ouvrent le débat. Et c’est dommage, car sur le fond, il y a matière à enrichir la réflexion.
Fair-play de votre part de me reprendre sur la forme. Cette lecture m'a contrariée par certains aspects, ce qui ne me donne pas le droit de juger la personne. Certes, il y a des conditionnements et une injonction sociale plus forte pour les hommes à être davantage orientés vers l'aspect charnel et concret de la relation. Et oui, la plupart ont des sentiments et des aspirations plus profonds qu'il n'y paraît.
Mais alors, comment peuvent-ils apprendre à différencier une attirance superficielle d'un sentiment plus profond ? C'est cela que j'aurais aimé savoir. Cela permettrait que l'intimité physique intervienne au moment où elle a le plus de chance de rapprocher que de séparer.