Hier, j’ai eu le plaisir d’être l’invité de Marie-Ange de Montesquieu, Dans son émission “En quête de sens”.
Pour tenter de répondre à une question qui pique :
“Peut-on encore se rencontrer dans la vraie vie ?”
Spoiler alert : oui, mais…
J’étais entouré de deux super femmes :
Florence Klein, fondatrice des Diners de Florence ;
ainsi que de de Capucine Moreau, sexologue ;
Quelques sujets abordés :
Et si les apps de dating, c’était la vraie vie ?
Trop de choix tue le choix ;
Tinder est aussi inégalitaire que le Vénézuéla ;
Nous sommes des “Romantiques-Consommateurs” (tiré du livre Sapiens)
Les injonctions contradictoires ;
Le nihilisme de nos sociétés ;
Pour écouter l’émission, cliquez ici 👇
Et ce soir, on remet ça avec RELOVUTION, ma masterclass gratuite en ligne : Ton plan en 8 étapes pour trouver l’amour en 2025.”
On était 200+ pour celles de dimanche soir, c’était génial !
C’est ce soir, (mercredi 15 janvier) à 19h.
Gratuit • En ligne • Pas de replay • 100% Anonyme
À bientôt
Bonjour Antoine et merci pour ce replay très intéressant, qui confirme ce que je pense, l’amour commence par une amitié, on apprend à se connaître, ce que beaucoup d’hommes brûlent comme étape sur les applis….
Amicalement.
Catherine.
Je ne suis pas d'accord au sujet des applis de rencontres. Les "couples" comptabilisés dans les stats mentionnées (4 couples sur 10 qui s'y formeraient) sont des couples au sens très large du terme, englobant souvent les partenaires sexuels occasionnels et relations à court terme (une personne qui y obtient 3 relations passagères = 3 couples !).
Sur les applis de rencontres, 30% des gens ne rencontrent personne et 75% n'y obtiennent aucune relation. 85% des dates y sont sans lendemain, et parmi les 15% restants, seuls environ 20% aboutissent à une véritable relation de couple. Moyenne qui masque de très fortes disparités.
En réalité, pour se mettre en couple à partir d'une appli, soit il faut faire partie des "super profils" (les plus désirables, surtout du côté masculin, les hommes étant en large surnombre), soit il faut gagner à la loterie du dating.
Les "belles histoires" vécues par une minorité des utilisateurs masque la misère vécue par la grande majorité des utilisateurs.