🔗 La théorie de l'attachement • ❤️ Votre profil type de célibataire • 📱Tinder lance une nouvelle offre

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👩‍🏫 Ce que vous allez découvrir aujourd’hui :

• 🔗 Le dating tips de la semaine : la théorie de l’attachement, un outil super puissant pour vous aider dans vos relations sentimentales (et pas que !) ;

• ❓Le quizz de la semaine : découvrez quel est votre profil type de célibataire et l’impact qu’il a sur votre vie sentimentale ;

• 😮 La news étonnante de la semaine : Tinder va proposer un abonnement à … 500€ / mois !

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Hey lovers,

J’espère que vous allez bien. Je tenais rapidement à vous remercier pour vos retours à la dernière newsletter : hyper encourageant pour une première édition. J’espère que cette deuxième édition vous plaira (au moins) autant !

Vos retours sont, comme toujours, les bienvenus.

Bonne lecture ❤️

PS : newsletter écrite en écoutant Take Five, de Dave Brubeck / Stand on the Word, de The Joubert Singers / La chanson d’Hélène, de Michel Picoli avec Romy Schneider 🎶

⏱ Temps de lecture à un rythme lent : 15 minutes (pile le temps d’écouter les 3 chansons ci-dessus)

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Le dating tips de la semaine 🎁

La théorie de l’attachement, un outil super puissant pour vous aider dans vos relations sentimentales (et pas que !)

Bon, il y a outil super puissant qu’il faut absolument que je vous partage : il s’agit de la théorie de l’attachement. Certains d’entre vous ont en sûrement déjà entendu parlé mais elle reste à mon avis trop méconnue. C’est une grille de lecture qui permet de comprendre les dynamiques qui ont lieu au sein d’un couple, mais aussi de comprendre pourquoi certaines de nos relations n’ont pas fonctionné et donc, vous l’aurez compris, d’être plus à même d’éviter de reproduire ce type de relation à l’avenir. Puissant, n’est ce pas ? Personnellement, je m’en sers avec tous les gens que j’accompagne et les résultats sont particulièrement intéressants. Bon, c’est pas super facile de se l’appliquer à soi-même, car on est jamais les meilleurs pour s’auto-analyser, mais je vais tout de même tenter de vous expliquer cette théorie, en espérant que cela vous aide dans votre vie sentimentale.

La personne à l’origine de cette théorie est John Bowlby, un psychiatre et psychanalyste anglais. Son sujet d’étude de base : l’attachement entre une mère et son enfant, plus particulièrement les conséquences d’une séparation précoce entre eux. Plus tard, Mary Ainsworth, une psychologue américaine a repris ses travaux et est allée plus loin. Elle a mis au point une expérience désormais connue appelée “The Strange Situation”. Laissez-moi vous la raconter, car je la trouve fascinante :

Elle a invité des mères et leurs bébés (âgés de 12 à 18 mois) dans son laboratoire et les a observés dans une série de scénarios différents :

• Scénario 1 : Tout d'abord, la mère et le bébé sont entrés dans une pièce remplie de jouets. Le bébé se sentait en sécurité pour jouer et explorer parce que la mère jouait le rôle de “secure base” (quelqu'un qui pouvait lui apporter de l'aide s'il en avait besoin).

• Scénario 2 : Ensuite, la chercheuse a demandé à la mère de quitter la pièce et a observé la réaction du bébé durant l'absence et au retour de la mère, quelques minutes plus tard.

Elle a observé les réactions des bébés lors du départ et du retour de la mère et a observé qu’il y avait 3 types de réactions distinctes :

• Groupe 1 : Certains bébés ont montré des signes de détresse dès le départ de leurs mères. Lorsqu'elles revenaient, ces bébés étaient temporairement apaisés et cessaient de pleurer, mais repoussaient ensuite leurs mères avec colère et recommençaient à pleurer. Mary Ainsworth a qualifié ces bébés "d’anxieusement attachés".

• Groupe 2 : D’autres bébés pleuraient quand leurs mères partaient, mais s'arrêtaient dès qu'elles revenaient. Ils recommençaient rapidement à jouer, comme avant leurs départs. Il s'agissait de bébés "solidement attachés".

• Groupe 3 : Un troisième groupe ne réagissait pas lorsque leurs mères quittaient la pièce, ni quand elles revenaient. Ils faisaient semblant de ne pas être dérangés par la situation, mais les chercheurs ont pu constater l'augmentation de leurs rythmes cardiaques et de leurs niveaux de stress. En réalité, ces bébés étaient tout aussi perturbés que ceux qui pleuraient (groupe 1). Il s'agissait des bébés "affectivement attachés".

Des années plus tard, des chercheurs ont repris cette analyse et ont découvert que cette même théorie s'appliquait à notre style d'attachement à l'âge adulte, c'est-à-dire dans nos relations amicales et amoureuses. Ils en ont donc tiré 3 styles d’attachement :

1. Le style d’attachement “anxieux” 😬

Quand les gens sont anxieusement attachés, leurs cerveaux sont inondés de "stratégies d'activation", des pensées qui les obligent à retrouver proximité. Par exemple, ils peuvent penser à leurs partenaires sans arrêt. Ou ils peuvent s'attarder sur les qualités de leurs partenaires tout en sous-estimant les leurs. Cette distorsion de la réalité conduit à la panique. Et lorsqu'ils n'ont pas de nouvelles de leurs partenaires immédiatement, ils craignent d'être abandonnés. Ils peuvent se débarrasser de leur anxiété uniquement lorsqu'ils communiquent activement avec leurs partenaires. Cela les conduit également à se lancer dans des relations et à y rester même lorsqu’elles deviennent dysfonctionnelles, car ils ont peur d'être seuls et craignent que ce soit leurs seules chances d'aimer et d’être aimé. Les personnes avec un style d'attachement anxieux agissent souvent de façon à attirer l'attention de leurs partenaires. Elles peuvent appeler ou envoyer des SMS, menacer de partir pour rendre l'autre personne jalouse, ou encore disparaitre et ignorer les appels téléphoniques. Ils représentent environ 25% de la population.

2. Le style d’attachement “évitant” 🏃‍♂️💨

Les personnes avec un style d’attachement “évitant” essaient de minimiser la douleur du rejet en prétendant qu'ils ne veulent pas vraiment être en contact. Ils ne croient pas pouvoir compter sur les autres pour répondre à leurs besoins émotionnels, ils évitent donc d'être trop proches de qui que ce soit. Lorsque l'intimité augmente, ils essaient de s'éloigner. Ces tentatives de désengagement sont appelées "stratégies de désactivation". Si vous avez entendu quelqu'un dire "Je ne suis pas prêt à m'engager" ou "J'ai juste besoin d'espace" ou "Mon travail me prend trop de temps, je ne peux pas te voir en ce moment", alors vous avez certainement expérimenté un comportement d'attachement évitant. Les personnes ayant ce style d'attachement ont aussi tendance à s'attarder sur les imperfections de leurs partenaires et s'en servent comme excuse pour sortir de la relation et retrouver leur indépendance. Elles fantasment sur le bonheur qu'elles vivraient si elles étaient célibataires ou avec quelqu'un d'autre. Ils représentent environ 25% de la population.

3. Le style d’attachement “sécure” 🧘‍♀️

Concernant le groupe 2, il s’agit des bébés qui sont attachés solidement, qui étaient sûrs que leurs mères répondraient à leurs besoins et qu’elles reviendraient. Les personnes ayant un style d'attachement “sécure” font des partenaires idéaux. Elles sont fiables et dignes de confiance. Elles ont tendance à éviter les drames et, si ce n'est pas le cas, elles sont capables de les désamorcer lorsqu'elles les voient venir. Elles sont flexibles, indulgentes et savent communiquer. Elles ont un comportement cohérent. Elles créent des limites saines. Elles sont à l'aise dans l'intimité. Les personnes ayant un style d'attachement “sécure” apportent plus de stabilité et de bonheur émotionnel que les personnes anxieuses ou évitantes. Ils représentent 50% de la population.

Conseils “clef en main” 🗝

• Essayez de savoir quel est votre style d’attachement : en lisant les définitions ci-dessus, vous vous êtes peut-être reconnu dans l’un des 3 styles d’attachement. Si vous avez des doutes, analysez vos relations passées, la dynamique au sein du couple, les raisons pour lesquelles vous vous êtes quittés.
  

• La boucle anxieuse-évitante : à éviter. On appelle la "boucle anxieuse-évitante" lorsqu’une personne avec un style d’attachement anxieux se met en couple avec une personne dont le style d’attachement est évitant. Les personnes anxieusement attachées pré supposent que la personne qu'elles aiment partira et qu'elles devront leur courir après. Cette possibilité de rejet créé de l'anxiété (sentiment que l’on peut à ce moment là confondre avec les “papillons dans le ventre”). Et quand la personne commence réellement à s'éloigner, cela se ressent de manière encore plus intense. La personne qui s'attache de manière évitante, pendant ce temps, vit probablement quelque chose d'entièrement différent. Les personnes avec ce style d'attachement craignent de perdre leur indépendance. Donc quand la personne anxieusement attaché commence à se rapprocher, cela vient renforcer sa vision malsaine des relations et lui donne envie de fuir. En bref, ces deux styles d’attachement s’auto-aliment de manière négative.
  

• Cherchez un partenaire ayant un style d’attachement “sécure”. Il vous faut essayer de sortir avec des partenaires sûrs, ceux qui envoient des textos quand ils disent qu'ils le feront, ceux qui vous partagent leurs émotions, ceux qui ne jouent pas de jeux ou vous évitent, ceux qui désamorcent les drames. Si vous êtes anxieux ou évitant, la personne sécure aura la capacité à calmer vos angoisses / envies de fuir, elle vous stabilisera et vous tirera vers le haut. Bref, le nec plus ultra quand il s’agit de couple (et pas seulement en vérité, on peut utiliser cette théorie pour toutes nos relations, qu’elles soient professionnelles, amicales et autres).

Warning ☝️

• Les personnes “sécure” représentent 50% de la population certes, mais sont sous-représentées dans la population des célibataires. Et oui, ce sont des personnes particulièrement douées pour créer des couples durables et stables et ont donc tendance à y rester. C’est pourquoi les apps de dating sont pleines de personnes anxieuses et évitantes. Mais il ne faut surtout pas désespérer ; il y en a plein, il faut juste savoir les repérer, et c’est peut-être le sujet le plus délicat. Dans ce cas, vous faire accompagner par une personne extérieure (comme un love coach, ou bien un(e) ami(e) avec une bonne capacité d’analyse) peut être une très bonne solution.

Mon commentaire 😊

Pour conclure, je trouve cette théorie particulièrement puissante quand on la maitrise bien car elle offre une véritable grille de lecture pour nos relations. On ne peut s’empêcher d’analyser l’ensemble de nos relations au prisme de cet outil. Attention tout de même à ne pas tirer de conclusions trop hâtives. On peut avoir un certain style d’attachement en amour, un autre dans le cadre de nos relations amicales ou amicales.

Et on peut même utiliser cet outil lorsque l’on est actuellement en couple, cela peut permettre de prendre du recul. Personnellement, cela fait 4 ans que je suis en couple avec ma partenaire, Agathe. Et bien évidemment, je n’ai pu m’empêcher d’analyser nos styles d’attachement respectifs. Hé bien Agathe est sans l’ombre d’un doute une personne de style “sécure”. Quant à moi…mystère et boule de gomme ! Je vous laisse tenter de deviner et m’envoyer votre avis en réponse à cet email 😁

PS : je tiens d’avance à m’excuser pour les fautes d’orthographe s’il y en a, je me suis pas mal embourbé avec l’accord du possessif leur/leurs 😅

source disponible ici

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Le quizz de la semaine

Découvrez quel est votre profil type de célibataire et l’impact qu’il a sur votre vie sentimentale

Logan Ury, une psychologue américaine, a mis au point un test afin de permettre aux célibataires en quête de l’amour de découvrir leurs “dating blind spots”, que l’on pourrait traduire dans notre cas en “techniques d’auto-sabotage”. Sa théorie, que je partage entièrement, est de dire que si l’on est célibataire depuis un petit moment malgré l’envie de construire un couple durable, c’est parce qu’on met en place (sans forcément s’en rendre compte) des “bad patterns”, des mauvais schémas, de mauvaises habitudes, qui nous empêchent d’atteindre notre but. En clair, que ça se joue avant tout en nous.

Elle estime qu’il y a 3 “dating tendencies” (profil type de célibataires). Et qu’en fonction de votre tendance, cela aura un impact sur votre comportement à chaque étape de la relation sentimentale (de la recherche, aux rencontres à la mise en couple) et peut être à l’origine de scénarios sentimentaux infructueux qui se répètent.

Connaitre ses “bad patterns”, les comprendre et les surmonter est donc une étape indispensable pour arriver à construire un couple durable et prospère.

Pour faire le test, cliquez JUSTE ICI 👈

& pour découvrir votre profil type, ses mécanismes et des méthodes pour les surmonter, envoyez moi en réponse à cet email :

• la somme des résultats pour les questions 1, 4, 7, 10, 13 et 16

• la somme des résultats pour les questions 2, 5, 8, 11, 14 et 17

• la somme des résultats pour les questions 3, 6, 9, 12, 15 et 18

Je vous enverrai sous 48h votre résultat et quelques conseils !

PS : je peux déjà vous dire, pour vous mettre l’eau à la bouche, que les 3 types sont : le Romantique / le Maximisateur / l’Hésitant 🤐

source disponible ici

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La news étonnante de la semaine

Tinder va proposer un abonnement à … 500€ / mois !

L’application de rencontre Tinder est en train de tester un abonnement à…500€ par mois, pour les “highly motivated daters” ! Nous n’avons encore aucune information sur les fonctionnalités disponibles avec cette formule, mais Tinder ne serait-il pas en train de nous proposer une sorte d’agence matrimoniale 2.0 ? Je dis ça, je dis rien…

Je vous tiendrai au courant. Affaire à suivre !

source disponible ici

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Antoine de Docteur Love ❤️

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