Avant de commencer…
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Tout part de soi.
Il y a des personnes qui passent leur vie à sauver les autres… et qui s’oublient.
Elles donnent sans compter. Elles se sacrifient.
Mais comment aider vraiment les autres si l’on ne s’aide pas soi-même ?
C’est impossible.
Je pense à une cliente que j’ai coaché cet après-midi.
Une femme d’une soixantaine d’années.
Toujours à l’écoute, toujours prête à consoler, à réparer, à donner…
Mais jamais pour elle.
Dans ses relations amoureuses en particulier, elle s’est effacée.
Elle croyait aimer, mais elle s’oubliait.
(Catherine, si tu me lis, cette newsletter est pour toi. Et grâce à toi.)
On ne peut pas donner de l’eau avec une cruche vide.
Voilà pourquoi l’égoïsme est en réalité le premier pas vers l’altruisme.
Le problème, c’est que ce mot fait peur.
Dans notre langue, “égoïste” sonne comme une insulte.
On imagine quelqu’un de froid, d’indifférent, centré uniquement sur lui.
Mais à l’origine, ça veut juste dire : le moi d’abord.
Et c’est une évidence.
On ne peut pas aimer les autres si on s’oublie soi-même.
Il faut se nourrir, se préserver, s’honorer… avant de pouvoir offrir quoi que ce soit.
En vérité, l’égoïsme n’est pas un refus de l’autre.
C’est la condition pour mieux l’aimer.
La bienveillance ne naît pas de l’oubli de soi, mais de l’amour de soi.
Tout part de soi pour ensuite rayonner sur les autres.
Alors oui : avant de sauver le monde, sauvez-vous vous-même.
C’est la seule manière d’aimer les autres sans se trahir.
Soyez un égoïste altruiste.
À bientôt